
La chronique de Jean Claude Lataupe
Billet n° 1250
La phrase du jour, choisie pour vous par Ecrivainparisien : « On dirait le cirque Pinder. Y’a déjà Bozo et sa bande, manque plus que les otaries ! »
Phrase empruntée au site « Les sportifs aussi ont de l’humour », rubrique Rugby : citations des poètes de l’Ovalie
http://nicerugbyfeminin.canalblog.com/archives/les_citations_du_rugby/index.html
Les Dieux du stade ?
Une image, légendée avec une splendide faute d’orthographe et téléchargée sur le site « Rigolus » www.rigolus.com m’a donné l’idée du billet quelque peu corrosif qui suit :
Ils ne sont plus très jeunes nos Dieux du stade malgré leur belle gueule d’apôtre à laquelle certains « déficients visuels » ont accordé crédit et donné le Bon Dieu sans confession et continuent de le faire en courtisant et cautionnant une certaine EDVIGE ainsi que ses sœurs aux allures de sorcières mal-aimées.
Sur le terrain de jeu, en forme d’amphithéâtre aux tons ocrés et pourprés ça fait des ronds de jambes et aussi des crocs-en-jambe avec une perfidie consommée, rôdée par l’habitude, ça monte en tribune, ça tapote depuis des lustres le malheureux micro qui aboie mais n’en pense pas moi, ça distribue des sourires « enjôleurs » à rendre jaloux le dernier des bellâtres, ça donne de la carotte et du bâton à n’en plus finir.
En bas, dans l’arène, ça écoute, ça vitupère et vocifère de temps en temps, ça se fait bruyant, réveillant soudainement en cours d’après-midi, qui, ayant trop mangé à la cantine seigneuriale infiniment trop riches en vecteurs diabétiques.
Ca écrête et décrète, ça édite, ça décoiffe !
Ca se paie la tête des citoyens de bas-étage, n’écoutant aucunement ces « gueux » malappris, hermétiques à la bonne parole, cette majorité, de moins en moins silencieuse qui a parfois « l’outrecuidance » de descendre dans la rue n’ayant pas bien compris le mode d’emploi de la potion du Docteur Mabuse.
Les Dieux du stade, c’est tout cela et bien plus encore !
Ces gens là usent et abusent de la manne républicaine et pas à discrétion mais bien plutôt à satiété, et cela avec une désinvolture stupéfiante durant parfois des décennies…
Ces Dieux du stade là ne sont ni des Saints, ni des enfants de chœur.
Réveillez-vous mes frères ! Les choses vont de mal en pis !
Lataupe, pamphlétaire, politiquement incorrect, libre et, plus que jamais indépendant
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