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Archive for janvier 2013

Les chroniques de Montigny

Billet n° 1980

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Sur la route des pharaons

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Je vous propose, en cette froide nuit d’hiver de vous emmener vers un pays de soleil.

Nous allons embarquer, direction Le Caire pour une croisière de cinq jours sur le Nil, de Louxor à Abou Simbel sur la route des pharaons.

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Egypte ancienne, Pharaons, Nil, Louxor, Abou Simbel,

 

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1979

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Histoire d’un patrimoine

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Les premiers pas de la Radio Télévision Française

Je vous offre, ce matin, la faculté de revoir, grâce aux images des archives de l’Institut National de l’Audiovisuel, le tout début de ce qui est devenu aujourd’hui une « chose » courante, presque banale, tellement nous y sommes habitués : la télévision.

Vous allez voir au fil de ce documentaire commenté et illustré, des femmes et des hommes qui ont fait, en partant de leur seul enthousiasme et de leur volonté de créer mais aussi de leur rigueur professionnelle, la télévision, une véritable institution née au milieu du siècle dernier.

Sans plus attendre je vous laisse replonger au cœur de vos souvenirs de l’époque de la « télé de papa »

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Radio Télévision Française, Patrimoine, Institut National de l’Audiovisuel, Cognacq-Jay, Télé de papa,

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La boite à souvenirs

Je vais vous parler aujourd’hui d’un objet dont la majorité des gens ne peut plus se passer puisque la France d’aujourd’hui a organisé sa vie autour de l’objet en question qui occupe tout ou partie de son temps libre.
Aujourd’hui, cet objet, bien que techniquement excessivement élaboré est devenu totalement banal du fait de sa diffusion à grande échelle ; banal, oui mais indispensable à certains et ceux-là ne mesurent plus ce qu’il a représenté hier, à ses débuts.
Regarder et écouter, jadis, ce que diffusait l’objet en question se « méritait ». Peu de gens semblent être en mesure aujourd’hui d’évaluer et d’appréhender ce paramètre.
Mais où est donc passée la télé de papa ?

Elle était jeune, belle et novatrice en ce temps là et, bien qu’en noir et blanc, elle nous faisait voir la vie en couleur ; elle était meuble, fait de bois précieux et constituait une pièce maitresse trônant dans un coin du salon des familles ayant les moyens de pouvoir l’acquérir.
Elle a accompagné la jeunesse de la France qui allait devenir laborieuse et gros nounours, sur son nuage, savait bigrement bien endormir les enfants émerveillés de jadis, devenus aujourd’hui des retraités quelquefois amers et emplis de désillusion devant notre époque et ce qu’on en a fait ; une époque qui semble être allée trop vite à leur gout.
Quelquefois ils ne se reconnaissent plus dans la France d’aujourd’hui ; une France dans laquelle les évènements vont infiniment trop vite ; une France, fuyant en avant, qui a oublié, englouti, dispersé et dilapidé aux quatre vents les valeurs morales de jadis, quasiment toutes disparues aujourd’hui ; des valeurs que chacun se faisait un devoir de mettre en pratique pour son propre compte ou bien celui des siens et dont chacun était fier, pour lui-même mais aussi pour les autres.

Hier on était fier d’être français, chers lecteurs ! Oui, fier !

Et lorsque retentissait l’hymne national beaucoup de gens, pourtant pas forcément « militaristes » dans l’âme avaient l’instinctif réflexe de se redresser et se mettaient à vibrer de l’intérieur devant les accents guerriers de notre chant national…
Pour en revenir à la lucarne magique, puisque c’est de ce « monument » dont je parle, cet objet de savoir mais aussi de pouvoir était capable, d’instinct, de nous informer, nous divertir mais aussi nous émerveiller et nous faire pleurer.

« Pierre Lazareff, Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère vous proposent… Cinq colonnes à la Une » Combien de fois ai-je vibré à l’annonce de l’indicatif de la première émission d’information de la Radio Télévision Française ?
Je ne m’en souviens plus mais, tout en rédigeant cet article, j’entends distinctement dans ma tête la musique du générique de cette émission unique que l’on pourrait comparer au journal « L’illustration », un grandissime journal, luxueusement illustré, du début du siècle dernier. Ces deux médias avaient en effet une approche réellement comparable en termes de qualité et de professionnalisme.

Musicorama, Denise Glaser ; La séquence du spectateur et sa reine, Catherine Langeais, la « maman » spirituelle et distinguée de toutes les speakerines ; Histoires sans paroles ; La vie des animaux, Claude Darget ; Zorro, alias Don Diego de la Véga, le sergent Garcia, Rusty, Rintintin, le Lieutenant Ripp Masters, Le petit train de la mémoire de Maurice Bruno ; Le manège enchanté, Zebulon, Polux, Margotte : des noms et des émissions de qualité qui sont passés à la postérité.

La liste des émissions de grande qualité, tant au plan de leur fond qu’à celui de leur forme que diffusait la Radio Télévision Française est longue.
La télé de papa me manque et je pense ne pas être le seul à ressentir cette frustration surtout si l’on compare la qualité de ce qui se faisait hier avec le manque d’intérêt, d’originalité, de richesse et de curiosité des piètres programmes qu’on nous impose aujourd’hui.

La télé d’aujourd’hui, pluri-forme et tentaculaire s’installe dans les chaumières nous servant, à l’heure de la soupe et sans aucune vergogne, une information au contenu calibré, millimétré, aseptisé mais fade et sans aucune saveur ; une information synthétisée et à la mise en forme vidée de sa substance réelle ; une information orientée par ceux qui nous exploitent et tirent les ficelles dans l’ombre pour nous faire avaler des couleuvres , aidés en cela par certains directeurs d’information qui préfèrent fermer les yeux plutôt que de faire honnêtement le métier qui est le leur : informer objectivement.

Mon Dieu mais où est donc passé l’héritage que nous ont légué Pierre Lazareff, Pierre Desgraupes et Georges de Caunes pour ne citer que trois des plus grands journalistes d’hier ?

L’information aujourd’hui est reprise partout, à l’infini et à l’identique. On nous l’assène, jour et nuit à tous les temps, tous les modes mais toutes les modes aussi. On nous bombarde, nous assomme, nous matraque et nous asphyxie tentant en cela de nous abrutir afin d’endormir le sens critique qui sommeille en chacun de nous pour nous orienter et nous diriger finalement vers une impasse.

La télé d’aujourd’hui préfère nous caresser dans le sens du poil en diffusant des banalités politiquement correctes dénuées d’intérêt culturel, voire intellectuel. Aux débats instructifs, par exemple, on préfère le football ou bien encore les émissions de téléréalité.
Pendant ce temps on occulte les vrais problèmes quotidiens qui pourrissent la vie de tout le monde : la pollution inquiétante, les erreurs de nos dirigeants concernant des choix stratégiques engageant l’avenir du pays, la malnutrition, le problème du logement qui prend des proportions catastrophiques, les problèmes de santé publique, la pénurie du nombre de médecins dans l’hexagone, la suppression drastique du nombre d’enseignants qui va favoriser, à court terme, l’abaissement du niveau qualitatif et quantitatif de l’enseignement dispensé. Que sais-je encore ? J’en oublie, il y en a tant ! La mise à mort programmée du service public, le dépeuplement dramatique de nos campagnes, le travail des paysans, au sens noble du terme, ainsi que celui des pécheurs, rendu presque impossible par Bruxelles, j’en passe et de moins drôles encore !

Ce plan machiavélique est minutieusement orchestré dans l’ombre par les stratèges qui nous exploitent dans le but évident de favoriser une minorité agissante, une minorité détenant l’argent et la science du pouvoir : en d’autres termes, une caste, comme en Inde !

Heureusement qu’il reste quelques portes de sortie pour ceux qui souhaitent ne pas être aspirés par la spirale de l’uniformité et de la médiocrité. J’en compte un certain nombre de ces portes, à commencer par celle qui consiste à s’exprimer lors des scrutins électoraux ce qui peut changer la donne, on l’a déjà vu.
La seconde porte, grande ouverte à tous, c’est Internet, un outil exceptionnel qui permet d’avoir des informations libres et nettement moins orientées que ce que nous sert le pouvoir en place.
Sur Internet on peut tout dire ou presque et il n’y a pas de censure cependant il faut rester vigilant.
Demandez donc aux tunisiens qui ont courageusement gagné leur révolution grâce à la toile ce qu’ils pensent de cet excellent outil.

« Bon Dieu, mais c’est bien sur ! » comme le disait l’inspecteur Bourrel, alias Raymond Souplex au cours des cinq dernières minutes, une célèbre émission policière diffusée du temps de la télé de papa, une époque « joyeuse » que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre.

Ecrivainparisien

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1978

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De l’Art en gare

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Mon ami Jean-Paul Barruyer que les lecteurs commencent à connaitre pour la qualité constante des diaporamas qu’il conçoit m’a offert récemment une petite merveille que je me fais un plaisir d’offrir à mon tour aux lectrices et lecteurs du forum.

Ce diaporama est une plongée au cœur d’un des plus grands musées mondiaux dédié à l’art et aux artistes et créateurs de toutes tendances du milieu du dix-neuvième siècle jusqu’au début du vingtième.

Sans plus attendre je laisse la parole au maitre es diaporama lyonnais qui nous offre, une fois encore, un travail passionnant autant que passionné. Tout ce que j’apprécie, en quelque sorte.

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Jean-Paul Barruyer, Musée d’Orsay, Art,

Pour aller plus loin :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_d%27Orsay

 

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1977

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Voyage au pays de la bêtise

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Après vous avoir fait découvrir il y a peu Lyons-la-Forêt, une jolie petite ville normande dans laquelle le célèbre compositeur du Boléro a vécu, je vous emmène cette nuit un peu plus au nord encore ; au nord est, plus précisément.

La bêtise est reine, voire impératrice dans cette ville du nord, connue dans toute l’Europe, au moins, pour cette spécialité.

Cambrai, puisque c’est de cette ville dont il s’agit ici est une charmante ville du département du Nord plus connue pour sa friandise, due à la « délicieuse » erreur d’un commis de cuisine, que pour le reste et c’est bien dommage comme vous pourrez en juger par le joli dossier photo, bien documenté, figurant ci-après que je vous laisse déguster à votre guise.

Cambrai, ancienne ville fortifiée chargée d’histoire peut s’enorgueillir d’avoir un campanile et un jacquemart de toute beauté, entre autres choses, cela dit en passant ; mais Cambrai possède aussi un impressionnant beffroi, sorte de tour de garde à la vue imprenable, courante dans les villes fortifiées du nord ; des points hauts construits par l’homme pour compenser la platitude du relief régional en vue de pouvoir observer.

Sans plus attendre je vous laisse découvrir les images de cette ville fort sympathique.

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Cambrai, Campanile, Jacquemart, Bêtise de Cambrai,

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Pour aller plus loin :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Cambrai

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1976

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30 ans déjà ! Hommage à un certain Stanislas Lefort.

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Il y a juste 30 ans ce grand professionnel, méticuleux, pointilleux et travailleur acharné qui a fait rire la France entière durant de longues années nous a bien fait pleurer en ce 27 janvier 1983.

Ce sacré « corniaud » s’est fait la belle dans une grande vadrouille, emportant avec lui le « Youkouncoun »

Le maréchal des logis chef Cruchot verbalise sans doute les anges là haut mais il doit aussi donner des sérénades pianistiques pour tenter de charmer sa « biche », une veuve de colonel de gendarmerie.

La soupe aux choux était bigrement bonne du côté du hameau des Gourdiflots lorsque Claude Ratinier, dit le « Glaude » avec un « G » la préparait.

J’ai composé, il y a quelques années, en hommage à celui qui aurait pu entrer à l’académie du rire, un modeste poème dans lequel je l’associais au grand Bourvil mais aussi à monsieur Gérard Oury.

Je vous l’offre aujourd’hui mes ami(e)s en cette journée commémorative des 30 ans de la disparition de Louis, Germain, David de Funès de Galarza.

Personne ne vous a oublié, Louis !

Ecrivainparisien

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Clin d’œil poétique

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Aussitôt que le hasard de la vie les a mis en présence ils ne se sont plus jamais quittés

« Herr Kapelmeister » a brillamment donné la réplique au malheureux Augustin Bouvet

Il voulait le mener à la baguette comme il le faisait avec son orchestre de l’Opéra de Paris

Le peintre en bâtiment se rebellait souvent, ne voulant s’en laisser compter à aucun prix.

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Ces deux héros, comiques en diable, ont fait rire la France entière durant de longues années

La grande vadrouille de Saroyan est passée par Carcassonne et les remparts de sa cité

Il nous a fait rire aux larmes avec ses pantalons trop courts et ses chaussures qui le blessaient

Le «Youkouncoun » écrit avec un « k », comme dans klaxon, lui aura finalement échappé.

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« Il m’épate, il m’épate, il m’épate ! » a du dire de lui Saint Pierre en le voyant arriver

« Elle va marcher beaucoup moins bien forcément ! » répondit Maréchal d’un ton agacé

Je suis certain que, chez leur hôte, ils continuent inlassablement à faire leurs pitreries

Le gardien du temple doit parfois rire aux larmes en regardant leurs curieuses facéties.

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« Pivert » a remplacé « Blaireau » mais le ton est resté le même plus de quarante ans après

Le chauffeur de taxi qui embarquait le « Cerveau » dans sa traction s’est lui aussi envolé

Vous nous manquerez toujours cruellement chers vieux « corniauds » que nous avons aimés

Merci Monsieur Gérard Oury nous vous devons de beaux et merveilleux instants d’éternité !

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Louis de Funès, Disparition, Commémoration,

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En hommage au châtelain du Cellier (Loire-Atlantique) passionné par les roses.

http://www.linternaute.com/cinema/star-cinema/les-meilleurs-films-de-louis-de-funes/?utm_source=benchmail&utm_medium=mail&utm_campaign=ML8_E10238727&f_u=9969318

 

https://www.youtube.com/watch?v=nddZ8150I_s

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1975

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L’art du Baroque flamboyant

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Je ne résiste pas au plaisir de vous faire découvrir, ou redécouvrir, pour les personnes ayant eu la chance de visiter ce haut lieu de merveilles, le château de Linderhof, un petit Versailles situé au cœur de la Bavière. Ce château royal ou villa royale est situé dans le Graswangtal, près d’Oberammergau et du monastère d’Ettal et fut construit en 4 années, de 1874 à 1878, sous le rège de Louis 2 de Bavière, le mécène de Richard Wagner.

Ce château était à l’origine un rendez-vous de chasse et Louis 2 de Bavière s’y rendait souvent, non pas pour y chasser puisqu’il détestait cette activité, tout autant que la guerre, mais parce qu’il appréciait vivement l’isolement de ce lieu que je vous laisse découvrir sans plus attendre.

Ecrivainparisien

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Most clés de cet article :

Château de Linderhof, Bavière, Louis 2, Baroque flamboyant,

Pour aller plus loin :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Linderhof

 

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1974

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Ca sent si bon la France

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Je vous propose, en ce dimanche, la visite virtuelle d’un bourg qui répond au joli nom de Lyons-la-Forêt.

Ce charmant petit bourg situé dans l’Eure est empli d’histoire et laisse admirer au passant, au touriste ainsi qu’au visiteur curieux l’architecture de ses jolies maisons à colombages, typiquement normandes.

Sans plus attendre, je vous laisse admirer ce village dans lequel « ça sent si bon la France »

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Lyons-la-Forêt, Architecture, Eure, tourisme, Maison à colombages,

 

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Pour aller plus loin :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lyons-la-Forêt

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1973

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Les vœux de mon ami Jean-Paul Barruyer

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Le mois de janvier est traditionnellement un mois fort qui voit, un peu partout, fleurir discours et présentations de vœux annuels, qui en direction des armées ou des Corps constitués, qui en direction des salariés d’un groupe étatisé, qui encore à destination de la Presse, par exemple.

J’ai sacrifié pour ce qui me concerne à cet exercice il y a 15 jours à l’attention des lecteurs du forum et de ma page hébergée sur le plus grand réseau social de la planète.

Je vous présente aujourd’hui les vœux m’ayant été adressés par mon ami Jean-Paul Barruyer, que les lecteurs commencent à connaitre pour la qualité hors norme de ses diaporamas commentés traitant de sujets divers et variés particulièrement éclectiques autant qu’intéressants. Ce diaporama n’échappera pas à la règle.

Bien que le sujet des vœux ne brille pas par son originalité, Jean-Paul Barruyer à su apporter à son travail une touche d’humour non négligeable comme vous pourrez le constater en regardant les images commentées qu’il nous propose juste après le commentaire que je lui ai adressé concernant son travail.

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Cher Jean-Paul,

Je viens de vivre, l’eau à la bouche, ce repas princier lyonnais qui a fait frétiller mes papilles presqu’aussi surement que si j’avais été invité. Le vol est bien mis en situation par votre commentaire et ce Goliath des airs est en effet impressionnant tout comme le complexe de Saint-Exupéry. J’ai également apprécié les décalages et contre-pieds entre commentaires et photos s’y rapportant concernant les vœux d’or et d’argent que vous portez aux lecteurs et spectateurs de vos “encyclopédies thématiques”, imagées et commentées de plume de maitre, qui doivent se réjouir, tout comme moi, lors de l’arrivée d’un “Barruyer” nouveau.

Dernière chose, j’ai particulièrement apprécié le fait que vous aviez eu la délicatesse d’associer votre “égérie” à ce diaporama de présentation de vos vœux conjoints. Je savais, finalement, que vous étiez homme orchestre, zélé, cultivé, délicat et posé mais aussi d’une classe étant tout sauf économique…

Amitiés sincères à Christine ainsi qu’à vous-même.

Jean-Claude

PS : quelle heure est-il actuellement à l’Arbresle sur l’écran de votre belle montre de “commandant de bord” ? (sourire)

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Vœux 2013, Jean-Paul Barruyer, New York, Airbus A 380,

 

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1972

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Hommage au Napoléon de la peinture

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Après vous avoir entrainé, à ma suite, en direction du plus grand musée du monde à la découverte de trésors exceptionnels mais aussi en direction du Caire, pour voir ou revoir le fleuron du patrimoine de l’Egypte antique, je vous propose cette nuit de découvrir, après les œuvres des sculpteurs Ho Gaylord et Laszlo Kutas mises en ligne la nuit précédente, l’œuvre exceptionnelle laissée à la postérité par un peintre français, mort à seulement 37 ans, Théodore Chassériau.

Peintre accompli autant que prolifique mais aussi dessinateur au coup de crayon magique, Théodore Chassériau à laissé à la postérité, au cours d’une carrière infiniment trop courte de 21 ans à peine, plus de 100 toiles ainsi que 3000 dessins.

Ayant eu pour maitres Ingres, qui décela son exceptionnel talent et dit à son sujet qu’il pressentait en lui le futur Napoléon de la peinture, mais aussi l’illustre Eugène Delacroix, l’art et le génie de Chassériau ne pouvaient que naitre de son délicat et généreux pinceau grâce à de si illustres maitres.

Wikipedia précise à son sujet, je cite «Les œuvres de Chassériau sont aujourd’hui visibles notamment au Louvre où une salle lui est consacrée, mais aussi au Musée d’Orsay, au MET de New York ou encore à la National Gallery de Washington.
L’œuvre de Théodore Chassériau a fait l’objet d’une donation en 1936 par un cousin du peintre, le baron Arthur Chassériau. Il fit don aux Musées français de l’ensemble des œuvres de Chassériau qu’il mit une vie à réunir, soit 100 peintures et quelque 3 000 dessins »

Sans plus attendre je vous laisse en bonne compagnie avec les quelques œuvres de Théodore Chassériau reproduites ci-dessous qui vous parleront sans aucun doute tout autant qu’elles m’ont interpellé.

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Peinture, Théodore Chassériau, Musée du Louvre, Musée d’Orsay, Met New York, National Gallery Washington,

Pour aller plus loin :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Théodore_Chassériau

 

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Les chroniques de Montigny

Billet n° 1971

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Art figuratif

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Après vous avoir fait voyager dans l’univers merveilleux du sculpteur coréen Ho Gaylord, je vous emmène maintenant dans celui d’un autre sculpteur, hongrois cette fois, Laszlo Kutas.

Il est également à noter que Laszlo Kutas réalise la gravure de médailles.

Je vous laisse découvrir, ci-après le travail de qualité de cet artiste dont les œuvres ne peuvent laisser indifférent. Vous trouverez également ci-après un lien pointant vers une courte vidéo montrant Laszlo Kutas en plein travail de création.

Ecrivainparisien

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Mots clés de cet article :

Sculpture, Art figuratif, Laszlo Kutas,

Pour aller plus loin :

http://www.youtube.com/watch?v=KHT9bWNlmmw

 

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