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Archive for janvier 2009

Le crash de l’Hudson


La chronique de Jean Claude Lataupe

Billet n° 1352

 

Le crash de l’Hudson

Le vol 1549 ne répond plus ou un homme à l’honneur : Chesley Sullenberger

 

Des images de miraculés, de sauveteurs, de l’ambiance et du héros du jour, figurent pêle-mêle dans le diaporama que j’ai mis en place.

Plus de 150 personnes sauvées de la mort et seulement une jambe cassée grâce au sang froid d’un homme Chesley Sullenberger, pilote de 57 ans.

Extraits vus sur le site de l’Afp :

Le commandant de bord, Chesley Sullenberger, dont l’incroyable sang froid et l’habileté semblent avoir sauvé la vie des 155 passagers et membres d’équipage, a notamment reçu les louanges du président George W. Bush, qui l’a appelé personnellement vendredi.

Ou encore

Le talent du pilote d’US Airways, sa détermination et sa capacité à penser à toute vitesse ont largement contribué à ce que les passagers survivent à ce +crash+ dont l’issue aurait pu être bien différente", a déclaré Chris Yates, expert de l’aviation de la revue britannique Jane’s, spécialisée dans les questions de défense et de sécurité.

« C’est un pilote, il a beaucoup de contrôle, est très professionnel », a déclaré vendredi son épouse, Lorrie, accompagnée de ses deux filles, sur CNN, indiquant qu’il lui avait simplement annoncé qu’il y avait "eu un incident" après l’amerrissage.

Ainsi que l’avis d’un spécialiste :

Pour M. Yates, "il semble que cet appareil a plongé dans un vol d’oies juste après le décollage", ce qui a arrêté les deux moteurs.

Pour ce spécialiste, le pilote n’a eu d’autre véritable choix que l’amerrissage sur le fleuve, n’ayant pas assez de puissance pour retourner vers l’aéroport de La Guardia.

"Atterrir sur l’eau est une manœuvre difficile, mais il l’a fait comme à l’instruction et la structure de l’appareil est restée intacte", permettant à tout le monde à bord de sortir de l’avion, a-t-il dit.

Qu’ajouter à cela ? Rien ! Si ce n’est que je suis admiratif du professionnel qu’est Chesley Sullenberger.

Vous avez bien mérité d’être mis à l’honneur sur le forum.

Chapeau bas, Monsieur !

  Ecrivainparisien


 

Plus d’infos :

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iCCC2CEqjrqbYWeKGZRGyAxJrqAQ

http://www.msnbc.msn.com/id/28683246

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Divertissement


La chronique de Jean Claude Lataupe

Billet n° 1351

 

Divertissement

 

L’appeau

 

Voici enfin toute la vérité sur l’origine d’une expression connue de tous.

Elle est d’ailleurs souvent mal orthographiée depuis de nombreuses années…

L’histoire réelle de cette expression est malheureusement inconnue de beaucoup et ce n’est qu’après de très longues recherches que je suis en mesure de vous la livrer :

 

Par un beau jour d’automne 1820, le duc de La Rochelle, passionné par la chasse aux canards mais frustré par le maigre gibier qu’il ramenait de ses pérégrinations dans les marais alentours, imagina qu’il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante, sa traque des animaux.

Il convoqua en son château tous les artisans de la contrée et organisa un concours entre eux. Il leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils pour la chasse aux volatiles.

A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Martin Eycouille, se présenta au château clamant à qui voulait l’entendre qu’il possédait ce dont le duc rêvait. Il obtint facilement une audience auprès du noble seigneur et s’empressa de lui faire la démonstration de son merveilleux objet.

Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (un appeau)  et le porta à sa bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.

A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d’oiseaux de toutes sortes s’étaient approchés et virevoltaient autour de lui.  Le duc réalisa sans peine le profit qu’il pouvait tirer d’un tel accessoire lors de ses futures chasses.

Il se racla la gorge et ne prononça qu’une seule phrase :
– Combien cela va-t-il me coûter ???

Martin Eycouille, sûr de lui, répondit au duc qu’il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.

Cette requête fit sourire l’assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction.
La nouvelle fit grand bruit dans la ville et se répandit vite bien au delà des limites du duché, jusqu’à Chatelaillon paraît-il.

La rumeur disait qu’un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au duc qui en paya le coût sans broncher.

 

On ne sait plus aujourd’hui ce que le marchand est devenu par la suite et l’objet n’a, hélas, pas survécu aux années, mais cette anecdote historique a subsisté dans la langue française pour qualifier un objet hors de prix : "ça coûte l’appeau d’Eycouille"


Histoires
courtes

 

*Cadeau
d’anniversaire*

C’est décidé, chérie, pour tes 50
ans, je t’offre un voyage au Kenya !
– Ah ça alors ! Et pour mes 60 ans, tu
sais déjà ?
– Oui, je reviendrai te chercher

 

*Un couple de
randonneurs*

Un couple de randonneurs
à la campagne. La femme :
– Chéri…Ce paysage me laisse sans voix !

Parfait, nous campons ici !


*Un chef
compréhensif*

Chef, pourrais-je quitter le bureau
trois heures plus tôt, pour pouvoir aller faire du shopping avec ma femme ?

Il n’en est pas question !

– Merci, Chef. Je savais
que vous ne me laisseriez pas tomber


*Dans un bar…*

Un homme va dans un bar
commande une bière. Il la boit d’un coup, regarde dans sa poche et en commande
une autre. Il la boit et regarde dans sa poche, après avoir fait ça plusieurs
fois, le serveur lui demande :
– Pourquoi après chaque bière vous regardez
dans votre poche ?
L’homme lui répond :

– dans ma poche il y a une photo de
ma femme, quand je la trouverai belle je rentrerai a la
maison.


*Jolie ou
intelligente*

Chéri, qu’est-ce que tu
préfères, une femme jolie ou une femme intelligente ?
– Ni l’une ni l’autre,
chérie, tu sais bien que je n’aime que toi !


*La beauté de la
mariée*

Après quelques années de vie commune,
un jeune homme décide de se marier avec sa petite amie. Comme il n’est pas du
tout au courant des traditions, à la fin de la messe, il s’approche du curé et
lui demande :
– Excusez moi mon père, je sais qu’il est dans la tradition que
les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré le mariage, mais
je ne sais pas ce que les gens donnent en général.
Le prêtre lui répond dans
le creux de l’oreille :
– En général, c’est en fonction de la beauté de la
mariée. Plus elle est belle, plus la somme est élevée.
A ces mots, le jeune
marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques instants, plonge la main dans
sa poche et tend une pièce d’un euro au curé.
Le prêtre, compatissant, lui
dit :

– Ne bougez pas, je vais vous rendre
la monnaie…


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La chronique de Jean Claude Lataupe

Billet n° 1350

Message à une Reine d’amour

Tu restes à mes yeux et mon cœur la révélation de ma vie, toi que je nomme Karine, afin de respecter mais surtout de préserver, aux yeux de tous, ton anonymat dans les nombreux écrits où je parle toujours de toi en termes élogieux mais parfaitement justifiés et surtout mérités.

Tu redonnes de l’intérêt à mon existence, devenue bien terne depuis les drames que nous avons tous deux subis et endurés en perdant celles que nous avons surnommées, par amour, nos « Princesses » Nous leur étions si attachés que leurs âmes respectives vivent toujours dans nos cœurs marqués à jamais par le poids insurmontable des drames générés par leur si soudain départ.

Tu es infiniment belle malgré ce que tu endures depuis trop longtemps que je ne peux qu’être ému par les vertus de ton âme qui a su m’indiquer la voie pour tenter d’emprunter les chemins de lumière qui mènent à la vérité.

Tu galvanises mes facultés créatrices lorsque j’écris ou lorsque je compose, tout en pensant à toi. Le verbe coule alors avec une facilité déconcertante.

Je te vénère, ma Reine pour ce que je viens d’énoncer et pour tant d’autres choses totalement abstraites pour qui ne peut, comme moi, y accéder et je te reste redevable pour tout cela jusqu’à la nuit des temps.

    YB

 

Pensées…

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Divertissement

La chronique de Jean Claude Lataupe

Billet n° 1349

 

Anniversaire

 

Divertissement

Le jeune reporter du Petit vingtième vient de fêter son anniversaire.

J’ai trouvé sur http://www.linternaute.com/ un quiz lui étant consacré.

Etant tintinophile averti j’ai cliqué sur le lien et répondu aux 20 questions.

Le verdict : 18 bonnes réponses

Pas mal, non ?

Essayez !

Que savez-vous de Tintin ?

Le plus célèbre des reporters de BD vient de fêter son anniversaire. Mais quel âge a-t-il ? Comment se nomme le premier album de Tintin ? Dans quelle aventure Dupont et Dupond font-ils leur apparition ? Quiz


Georges Remy, le papa de Tintin

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Au hasard sur la toile


La chronique de Jean Claude Lataupe

Billet n° 1348

 

Au hasard sur la toile

Vu sur

http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39386593,00.htm?xtor=EPR-100

 

Apple : Steve Jobs se retire pour un congé maladie jusqu’en juin

La rédaction, publié le 15 janvier 2009

Business – Le P-DG d’Apple a indiqué que ses problèmes de santé l’obligent à un congé maladie de six mois. L’intérim est confié à Tim Cook, directeur des opérations.

«Pour me retirer du devant de la scène et me concentrer sur ma santé, et permettre à tout le monde à Apple de se concentrer sur la fabrication de produits extraordinaires, j’ai décidé de prendre un congé maladie jusqu’à la fin juin ».

C’est dans un e-mail adressé aux salariés d’Apple  que Steve Jobs a annoncé sa décision d’abandonner la gestion de la société pour six mois. La semaine dernière, dans une lettre ouverte adressée à la "communauté Apple", il dévoilait avoir commencé un traitement pour soigner un déséquilibre hormonal, responsable de sa perte de poids.

Un problème qui s’avère «plus complexe» que ses explications rassurantes de la semaine dernière ne le laissaient imaginer, révèle Steve Jobs dans son e-mail diffusé sur le site d’Apple. (Lire la reproduction ci-dessous)

Durant son absence, c’est Tim Cook, directeur général du groupe, qui sera aux commandes. Mais le cofondateur d’Apple assure qu’il restera impliqué dans toutes les décisions stratégiques majeures.

L’action Apple malmenée

Le débat est donc relancé sur la "Jobs dépendance" de la firme de Cupertino. Que vaut Apple sans Steve Jobs ? Personne ne met en doute les capacités de Tim Cook et des dirigeants actuels pour gérer l’entreprise sur le court terme.

«Mais les questions plus importantes sont le rôle que joue un patron comme inspirateur de la vision stratégique d’une société, (alors que) les conditions économiques actuelles rendent ce rôle encore plus important  » estime Charles Smulders, un analyste de Gartner.

L’avis de Roger Kay, analyste chez Endpoint Technologies Associates, est plus tranché : « Plus que d’autres entreprises, Apple dépend de son directeur général ».

Une opinion que semble partager les marchés. La cotation de l’action Apple a été brièvement suspendue mercredi soir dans les échanges électroniques suivant la clôture de la Bourse de New York. A la reprise, le titre perdait 9,97%, à 78,80 dollars, après une baisse de 2,49% en séance, indique l’AFP

Le texte de l’e-mail de Steve Jobs envoyé aux salariés d’Apple

Team,
I am sure all of you saw my letter last week sharing something very personal with the Apple community. Unfortunately, the curiosity over my personal health continues to be a distraction not only for me and my family, but everyone else at Apple as well. In addition, during the past week I have learned that my health-related issues are more complex than I originally thought.
In order to take myself out of the limelight and focus on my health, and to allow everyone at Apple to focus on delivering extraordinary products, I have decided to take a medical leave of absence until the end of June.
I have asked Tim Cook to be responsible for Apple’s day to day operations, and I know he and the rest of the executive management team will do a great job. As CEO, I plan to remain involved in major strategic decisions while I am out. Our board of directors fully supports this plan.
I look forward to seeing all of you this summer.
Steve

 

Vu sur

http://jeanmarcmorandini.tele7.fr/article-22679-deces-du-heros-de-la-serie-le-prisonnier-video.html

(Clin d’œil à Sylvie et quelques autres…)

  Décès du héros de la série "Le Prisonnier"

L’acteur américain Patrick McGoohan, célèbre pour avoir été le héros de la série culte britannique "Le prisonnier", est décédé à Los Angeles à l’âge de 80 ans, a-t-on appris mercredi auprès de son agent. McGoohan, né à New York en 1928 puis élevé en Irlande, a succombé après une "courte maladie", a précisé à l’AFP Sharif Ali, selon qui l’acteur avait encore des projets peu avant son décès.

"Il a écrit jusqu’à la fin, il avait beaucoup de projets", a-t-il dit. Lauréat de deux Emmy Awards, équivalent des Oscars pour la télévision, McGoohan avait joué dans de nombreux films, dont "L’évadé d’Alcatraz" avec Clint Eastwood en 1979, "Braveheart" de Mel Gibson ou encore "Le droit de tuer?" avec Samuel L. Jackson en 1996.

Mais il était surtout connu pour sa carrière d’acteur de télévision en Grande-Bretagne dans les années 1950 et 1960, qui avait culminé en 1967 et 1968 avec le rôle-titre du feuilleton "Le prisonnier", devenu culte bien qu’il s’en soit tourné seulement 17 épisodes.

La série souvent surréaliste raconte l’histoire d’un homme mis au secret sur une île isolée, dont il tente de s’évader. La réplique "Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre", a fait florès dans la culture populaire.

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Révélations

La chronique de Jean Claude Lataupe

Billet n° 1347

 

Révélations

 

Vu sur Le Républicain Lorrain du 16 décembre 2008

Coup de gueule

Dégoûté

« Le jeudi 4 décembre, sur France Info, la responsable de l’AFM (Association Française contre les myopathies) faisait la révélation suivante (ceci après insistance du journaliste) : France Télévisions soi-disant partenaire du Téléthon, facture 1 500 000 euros les 30 heures de diffusion. C’est un véritable scandale, voilà où passe une partie des dons. Qu’en est-il des « vedettes » qui se produisent sur le plateau, on peut supposer qu’elles aussi tapent dans la caisse. C’est une honte ! Après les pièces jaunes, où l’on apprend que la SNCF, partenaire, facture le TGV ; que Madame Chirac, son acolyte David Douillet et les autres descendent dans des hôtels 5 étoiles ; les Restos du Cœur, avec la révélation que les Enfoirés se font payer pour leurs tournées ! Combien de temps vont continuer ces détournements et la mise en avant de ces partenaires et vedettes qui me font vomir. Il est temps de faire les révélations et de ne pas laisser les généreux donateurs dans l’ignorance […] Il y en a marre de ces profiteurs. »

Francis, de Longwy


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La chronique de Jean Claude
Lataupe

Billet n° 1346


Un commentaire signé « Lataupe »

 

Vu sur http://sarkozix.canalblog.com/

 

Le bilan 2008 de l’UMP

 

 

Merci à tous les factotums zélés de Nabotix 1er !

Merci à tous les factotums zélés de Nabotix 1er !

Qu’ils soient ici publiquement "remerciés" pour l’excellent travail de sabotage qu’ils réalisent à l’encontre des valeurs qui ont fait la grandeur de la France ! Une casse spectaculaire qu’ils exécutent depuis près de deux ans et avec le sourire béat de la crétine ou du crétin satisfaits, totalement imbus de leur petite personne.

La palme de ce classement de la honte et du déshonneur revient sans conteste au "facho" de service pour son exceptionnelle propension à un manque flagrant d’humanité et d’humanisme qui fera date. Je crains le pire pour le monde du travail lorsqu’il prendra ses nouvelles fonctions !

Posté par Lataupe, 15 janvier 2009 à 04:54

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Tribune

La chronique de Jean Claude Lataupe

Billet n° 1345

 

Tribune

Un bon « samaritain » n’étant plus, depuis longtemps, comme moi d’ailleurs, en odeur de sainteté m’a adressé un message, m’offrant, sur un « plateau » le sujet de mon billet du jour.

Force est de constater, à la lecture de l’article que je vous offre ci-dessous, que la province ne manque aucunement de gens de talent et n’a donc rien à envier à Paris dans ce domaine comme dans certains autres non plus d’ailleurs.

Après avoir accordé une tribune sur le forum à un directeur d’école publique exprimant sa colère sous forme d’une lettre ouverte à Monsieur le Président de la République, j’en avais offert une autre à Khader Moulfi, journaliste et porte-parole de la Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis.

Plus récemment j’ai reproduit, dans le cadre d’un article du forum, les légitimes inquiétudes de Jacqueline Fraysse, députée des Hauts de Seine.

Je cède cette nuit ma place à Didier Pesteil, un cheminot qui a des choses importantes à exprimer et qui le fait remarquablement.

Le constat qu’il livre est tout à fait en accord avec ma forme de pensée profonde, raison qui fait que je lui accorde le droit de s’exprimer ici, non sans avoir remercié, avant de lui laisser la parole, une certaine Corinne qui se reconnaîtra.

Ecrivainparisien, alias Jean Claude Lataupe, poète, écrivain et pamphlétaire, politiquement incorrect, libre et, plus que jamais indépendant


 

Le salarié du Lot (page 7)

La grève des cheminots suscite, sur Internet beaucoup de commentaires haineux. Mais parfois un citoyen sort du lot…

Un peu d’espoir pour ceux qui luttent, non pas pour défendre des “privilèges” mais tout simplement leur dignité. Je vous livre son commentaire :

 

N’est-il pas affligeant de voir dans les médias complaisants à l’égard du pouvoir, c’est-à-dire presque tous, une avalanche de témoignages de moutons qui, non contents d’être livrés aux prédateurs qui les dévorent et de se faire tondre par leurs bergers, ne trouvent rien de mieux que de critiquer les seuls qui ont le courage de se défendre.

Après s’être fait sucrer leurs retraites sans réagir il y a quelques années par Fillon et bien qu’ils passent leur temps à pleurnicher sur la baisse, mois après mois, de leur pouvoir d’achat, qu’ils voient l’argent de leurs impôts distribué aux contribuables les plus riches du pays, ces esclaves s’en prennent à ceux qui, au lieu de se laisser plumer comme des pigeons, ont le courage de résister.

Mais où est donc ce peuple d’avachis prêts à tout accepter pourvu qu’on leur organise une coupe du monde de football de temps en temps, qu’on leur laisse de quoi s’acheter un 4×4 d’occasion, un écran plasma fabriqué en Chine par des esclaves moins payés qu’eux, des fringues de “marque” fabriquées en Inde par des gamins qui bossent 16 heures par jour, et surtout de belles vacances organisées en troupeaux pour aller jouer les riches dans les pays pauvres ?

Pendant ce temps-là, leurs parlementaires se paient des retraites de luxe où chaque année de cotisation compte double, leur Président s’augmente de 206% et leurs enfants étudiants, aussi veules et minables qu’eux, applaudissent quand les CRS chargent ceux qui bloquent les facs.

Triste destin pour un peuple qui, le 4 août 1789, avait eu le courage de se débarrasser de ceux qui prétendaient ne justifier leurs privilèges que par leur hérédité.

Didier Pesteil


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La chronique de Jean Claude Lataupe

Billet n° 1344

 

Billet d’humeur

Il n’y a pas qu’un âne qui s’appelle Martin

Vous êtes le tout dernier pion qui va servir, un temps, de paravent, d’aucuns diront de fusible à Monsieur le Président, celui que l’on nomme « grand », pion qu’il pousse en avant sur l’échiquier au gré de son humeur machiavélique.

Vous allez encore vous faire des amis, Monsieur le Haut Commissaire grâce au bon vouloir de votre mentor.

Vous arrive-t-il, parfois, depuis plus d’un an de repenser à l’abbé, cet homme si humble, entré en résistance dès la seconde guerre mondiale ?

Cet homme a pratiqué la résistance active et concrète, lui ; ayant ouvertement déclaré la guerre, durant plus de cinq décennies, à nombre de maux de la Société avec des résultats concrets, visibles et comptabilisables.

Vous souvenez-vous de la voix de cette sœur et des ses paroles ?

Je ne suis pas sur que leurs âmes soient honorées à leur juste valeur de par le simple fait d’une ambition personnelle qui vous habite et vous dévore, vous faisant renier et fouler aux pieds un certain nombre de valeurs réelles et véritables.

Après avoir été Haut Commissaire aux malheureux, miséreux et déshérités de tous poils de la belle Société que l’on nous concocte depuis 2 ans et pour lesquels vous ne faites rien, concrètement, vous allez devenir celui de la jeunesse.

Elle ne mérite pas tel handicap cette jeunesse !

Darcos et Hirsch même combat ! Celui de l’enfermement et de l’inféodation conduisant au musèlement et au nivellement par le bas de la pensée et des actes citoyens.

Comment vous remercier, Monsieur le Président, pour vos nombreux actes de lâcheté devant une situation que vous n’avez jamais été capable de maîtriser malgré vos belles promesses ?

Où conduisez-vous donc cette France qui travaille plus, semaine et dimanche compris et qui va avoir le privilège de servir le patronat jusqu’à l’âge de soixante dix ans ?

Où amenez-vous la France des nouveaux pauvres, celle que vous avez contribué à accroître dans des proportions incalculables, par les actions de votre désastreuse politique élitiste bénéficiant au plus petit nombre ?

Vous êtes le plus grand commun diviseur de notre Société, théorème mathématique que l’on peut, pour ce qui vous concerne, aisément démontrer par les chiffres, les véritables ! C’est-à-dire aucunement les vôtres.

  Jean Claude Lataupe, poète, écrivain et pamphlétaire, politiquement incorrect, libre et, plus que jamais indépendant.

 

Information complémentaire

Alors que j’allais mettre ce billet en ligne un lien d’information du journal « Le Monde » vient, par la plume d’Anne Michel, apporter de l’eau au moulin de mon billet. Je vous l’offre en guise d’au revoir :

Parachutes dorés : les excès continuent

LE MONDE | 13.01.09 | 13h27  •  Mis à jour le 13.01.09 | 13h27

En dépit d’incessants appels des pouvoirs publics à la modération et de la menace directe du chef de l’Etat, Nicolas Sarkozy, de recourir à la loi, les "parachutes dorés" ont la vie dure dans les grandes entreprises françaises cotées en Bourse.

Dans une étude inédite à ce jour, conduite sur les 120 plus grandes sociétés constituant l’indice boursier SBF 120, le cabinet international Hewitt Associates, spécialisé dans les questions de rémunérations dresse l’état des lieux pour 2008. D’après son enquête, les pratiques de près de 80 % des entreprises du SBF 120 "ne sont pas conformes" aux recommandations de l’AFEP et du Medef, adoptées en octobre 2008 à la demande du gouvernement.

Ces organisations patronales avaient déconseillé le cumul d’un mandat social (PDG, directeur général ou président du directoire) et d’un contrat de travail, susceptible d’entraîner un empilement d’indemnités de départ, les fameux parachutes dorés.

Selon Hewitt, 79 % des dirigeants des grandes sociétés françaises bénéficient de telles indemnités de départ, soit au titre de leur mandat social (31 %), soit au titre d’un contrat de travail, toujours valide, d’ancien salarié de l’entreprise (48 %). Ces indemnités se superposent pour un tiers des dirigeants, aboutissant à des excès manifestes. Elles sont même parfois majorées en cas de changement de contrôle de l’entreprise ou pour tenir compte d’une clause de non-concurrence.

Ainsi, relève Hewitt Associates, du fait de ce cumul d’indemnités, 27 % des dirigeants du SBF 120, soit près d’un sur trois, se sont fait attribuer des "parachutes dorés" dépassant le plafond préconisé par l’AFEP et le Medef. Ce plafond a été fixé à 24 mois de rémunération incluant le salaire et la part variable, ce qui représente évidemment des sommes déjà conséquentes.

Si l’on ne s’intéresse qu’aux indemnités de départ attribuées au titre du mandat social, leur montant varie entre 19 et 24 mois de rémunération fixe et variable, dans près de 60 % des cas (18 entreprises sur les 37 concernées), selon l’étude.

Le cabinet Hewitt s’est aussi penché sur la communication financière des sociétés. Son constat ne paraît guère meilleur. Certes, la plupart des firmes qui prévoient une indemnité de départ au titre du mandat social (78 %, soit 28 entreprises) ont "entrepris une mise en conformité" avec la loi Tepa d’août 2007. Celle-ci conditionne le versement de l’indemnité à des critères de performances, susceptibles d’être liés, par exemple, à un objectif de résultat ou de chiffre d’affaires.

Mais dans 25 % des cas (9 entreprises), les sociétés ne donnent aucune information sur la nature des critères retenus. Par ailleurs, parmi les entreprises qui communiquent, "29 % posent question quant à l’opacité des critères choisis, ceux-ci étant d’ordre stratégique ou non financier, écrivent les auteurs de l’étude. Beaucoup devront faire un effort supplémentaire de transparence (…) comme le recommandent l’Afep et le Medef".

En outre, plus de la moitié des entreprises ont mis en place un dispositif où l’indemnité augmente en fonction du niveau de performance, ce qu’une nouvelle fois, les experts du cabinet Hewitt ne jugent pas opportun. Mieux vaudrait, estiment-ils, se servir d’outils plus appropriés, spécialement conçus pour apprécier "la performance" des chefs d’entreprises, c’est-à-dire leur capacité à développer l’entreprise. Ils citent "la part variable annuelle de leur rémunération, les actions de performance et les stock-options".

Pour Jean Lambrechts, qui dirige le pôle "rémunération des dirigeants" du cabinet de conseil Hewitt en France, les grandes entreprises françaises ne doivent plus tarder pour se mettre en règle avec les bonnes pratiques.

"SE METTRE AU TRAVAIL"

"Il est normal que les entreprises mettent du temps pour se conformer à des recommandations adoptées à l’automne 2008, ce n’est pas par un coup de baguette magique que l’on réforme des pratiques anciennes, reconnaît-il. Mais les conseils d’administration des entreprises, et leurs comités de rémunération, doivent impérativement se mettre au travail, notamment pour préparer des propositions de suppression du contrat de travail des mandataires sociaux et limiter les indemnités".

Pour M. Lambrechts, "les comités de rémunération doivent prendre les choses en main, ils se sont trop longtemps cantonnés à un rôle de chambre d’enregistrement pour valider les demandes du management".

De son côté, Daniel Lebègue, ancien directeur du Trésor et actuel président de l’Institut français des administrateurs (IFA), exhorte les sociétés à de meilleures pratiques. "La crise va conduire à une remise à plat des règles et des pratiques de rémunération des dirigeants, estime M. Lebègue, mais cette évolution va prendre du temps. Il faut s’y atteler dès maintenant". Il poursuit : "Le statut de mandataire social révocable n’est pas compatible avec une indemnité de départ déterminée ex ante quelle que soit la performance du dirigeant, garantie même en cas d’échec."

Pierre-Henri Leroy, président de Proxinvest, société de conseil aux investisseurs, renchérit : "Les temps ont changé, nous ne voulons plus de parachutes dorés de plus d’un an de rémunération façon Patricia Russo (qui a touché 6 millions d’euros à son départ d’Alcatel-Lucent), déclare-t-il. Je fixe la limite admissible à 240 Smic !"

Signe des temps, fin 2008, l’ex-PDG de Dexia avait dû renoncer à un parachute de 3,7 millions d’euros, sous la pression politique. Avant lui, d’autres patrons avaient choqué l’opinion et enflammé la classe politique, comme Noël Forgeard, l’ex-patron d’EADS (8,2 millions d’euros) ou Antoine Zacharias chez Vinci (12,9 millions).

De fait, toute la question, désormais, est de savoir si les pratiques observées en 2008 perdureront en 2009. A ce jour, rien n’a filtré des délibérations des conseils d’administration de décembre 2008 où la question a été discutée. Un dirigeant toutefois est sorti du bois, Henri de Castries, le patron d’Axa, pour déclarer qu’il n’avait demandé ni ne bénéficiait d’aucun parachute doré, pas plus au titre de son mandat que de son contrat de travail.

Anne Michel

http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2009/01/13/parachutes-dores-les-exces-continuent_1141185_1101386.html


Dernière minute : vu sur
http://sarkozix.canalblog.com/archives/2009/01/08/12014092.html#comments

VENTE et
DESTRUCTION

Napoléon a créé des
bâtiments glorieux et enrichi notre patrimoine mais nabo le petit vend tous les
jours notre patrimoine aux amerlocs et aux émirats etc. Tous les beaux bâtiments
sont soldés et la destruction continue avec ce gouvernement de Vichy on discute
mais on maintient le cap Hirsch la dernière trouvaille pour l’enseignement alors
qu’a t-il fait pour les SDF rien que de la m…. Leur nombre fait battre tous
les hits ; son père spirituel doit se retourner dans sa tombe mais avec ses
bonnes paroles il continue de se soumettre au diable.

Posté par DIPLODOCUS, 12
janvier 2009 à 20:35

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