Archive for janvier 2007
Fermeture temporaire
Posted in Actualité on 23 janvier 2007| 15 Comments »
Réactions
Posted in Actualité on 22 janvier 2007| 2 Comments »
La dépêche de J Cl Lataupe
Billet n° 814
Disparition de l’abbé Pierre (Réactions)
« Le plus bel hommage que l’on peut lui rendre est de continuer »
(Martin Hirsch, président d’Emmaüs France sur France 24)
Un hommage unanime pour le défenseur des déshérités
Les réactions d’émotion se sont multipliées après le décès lundi matin de l’abbé Pierre • Jacques Chirac va décider de lui accorder un deuil ou un hommage national •
LIBERATION.FR : lundi 22 janvier 2007
Les réactions émues et les hommages se sont multipliés en France après le décès lundi de l’abbé Pierre, fondateur du mouvement Emmaüs, en mémoire duquel un deuil ou un hommage national devrait être annoncé.
La messe de funérailles aura lieu vendredi à onze heures à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Mais celui qui fut longtemps la personnalité préférée des Français jusqu’à ce qu’il demande à ne plus figurer dans les enquêtes de popularité sera inhumé dans la plus stricte intimité, aux côtés d’autres compagnons d’Emmaüs, dans le cimetière d’Esteville, une petite localité de Seine-Maritime où il avait vécu de 1992 à 1999, dans une maison de retraite et de convalescence de la communauté. «C’était son vœu et sa place est prévue depuis longtemps dans le cimetière», a expliqué la gestionnaire de cette maison, devenue depuis une halte pour les jeunes SDF.
Son cercueil sera exposé à partir de mercredi dans la chapelle de l’hôpital du Val de Grâce. «Il n’a pas organisé ses obsèques. Il a souhaité que tous les compagnons d’Emmaüs soient présents et qu’il soit enterré à Esteville», a déclaré Laurent Desmard, secrétaire particulier de l’Abbé Pierre. «Nous allons faire en sorte que tous ceux pour lesquels il s’est battu ne soient pas dépossédés de ce moment-là», a ajouté Martin Hirsch, président d’Emmaüs France qui se propose aussi d’organiser «un temps de rassemblement» dans la semaine à Paris «pour ceux qui voudront se retrouver ensemble». D’ores et déjà, des cahiers de témoignage vont être ouverts dans l’ensemble des groupes Emmaüs.
«Ces derniers jours, ce qui a été prioritaire, a été de le préserver, qu’il ne soit pas emporté dans un tumulte qui n’aurait pas été digne de la manière dont il a mené sa vie pendant 94 ans, a déclaré Martin Hirsch. J’espère que celles et ceux qui se sont attachés à lui nous pardonneront d’avoir fait en sorte, conformément à ses vœux, que ses derniers moments soient des moments de paix et de simplicité.»
Le président de la République devrait décider dans la journée la nature de l’hommage qui lui sera rendu: un deuil national, décidé sur décret présidentiel, comme ce fut le cas pour François Mitterrand (1996) et Georges Pompidou (1974), ou encore au moment des attentats du 11 septembre 2001 où un hommage national comme lors des décès de l’océanographe Jacques-Yves Cousteau (1997), de l’ancien Premier ministre Jacques Chaban-Delmas (2000) ou du pape Jean Paul II (2005).
Alors que tous les responsables politiques lui ont rendu hommage, Jean-Louis Borloo, ministre de l’Emploi, de la Cohésion sociale et du Logement, a estimé que la loi instaurant un droit opposable au logement, qui sera examinée le 30 janvier au Sénat, était «la loi de l’abbé Pierre» et qu’elle devait porter son nom.
http://www.liberation.fr/actualite/societe/230188.FR.php
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Il a rejoint le Père
Posted in Actualité on 22 janvier 2007| 1 Comment »
L’abbé Pierre est mort
LEMONDE.FR avec AFP | 22.01.07 | 07h07 • Mis à jour le 22.01.07 | 07h41
L’abbé Pierre, fondateur des compagnons d’Emmaüs, est mort lundi matin 22 janvier, à l’âge de 94 ans, à l’hôpital parisien du Val-de-Grâce, où il était hospitalisé depuis le 14 janvier.
"L’abbé Pierre est mort cette nuit à 5 h 25 au Val de Grâce entouré de quelques proches", a indiqué Martin Hirsch, président d’Emmaüs France. "L’infection pulmonaire pour laquelle il avait été hospitalisé après une amélioration tout au long de la semaine l’a finalement emporté".
Il avait fondé la première communauté Emmaüs en 1949. En février 1954, il avait lancé un appel resté célèbre sur les ondes de Radio-Luxembourg en faveur des sans-abri.
"C’EST TOUTE LA FRANCE QUI EST TOUCHÉE AU COEUR"
Le président français, Jacques Chirac, a rapidement réagi, par le biais d’un communiqué, se disant "bouleversé d’apprendre le décès de l’abbé Pierre", estimant que "c’est toute la France qui est touchée au cœur". M. Chirac a déclaré que la France avait perdu "une immense figure, une conscience, une incarnation de la bonté". Evoquant "l’admirable appel de l’hiver 54", M. Chirac a souligné que l’abbé Pierre "représentera toujours l’esprit de révolution contre la misère, la souffrance, l’injustice et la force de la solidarité". "Prêtre engagé dans la résistance et la lutte en faveur des déshérités, l’abbé Pierre aura été de tous les justes combats", a ajouté le chef de l’Etat, rappelant qu’il avait été élevé au grade de Grand Croix de la Légion d’honneur.
Merci pour votre action Henri Grouès !
Solidarité
« Un pour tous, tous pour un ! » telle était il y a bien longtemps leur devise préférée
Les glorieux mousquetaires évoquaient et pratiquaient déjà couramment la solidarité
Beaucoup de gens par la suite se sont inspiré de leur bel exemple puis les ont imités
Offrant ainsi spontanément leur temps pour honorer des causes liées à la générosité.
Je voudrais, au premier chef, citer dans ces louanges les très nombreux artistes
Par leurs actions et leurs prises de position ils sont entrés spontanément en piste
Je n’oublie pas d’accorder une mention aux bénévoles des restaurants du cœur
Tous ces gens admirables s’investissent chaque jour avec brio et grande ardeur.
Je citerai également au palmarès Albert Schweitzer et ces malheureux lépreux
Il leur a consacré une partie de sa vie afin qu’ils soient beaucoup plus heureux
Ce médecin humaniste et altruiste a obtenu entre autre le prix Nobel de la paix
Il a travaillé sans relâche jour et nuit dans le but de guérir leurs hideuses plaies.
N’oublions surtout pas l’abbé Pierre, préféré, entre tous en tant que personnalité
Il a su très intelligemment utiliser le pouvoir des médias pour véhiculer ses idées
Les chiffonniers d’Emmaüs ont permis à certains de retrouver toute leur dignité
Ils ont su redonner à beaucoup de gens le goût d’enfin pouvoir à nouveau espérer.
Il faut aussi citer au tableau de la reconnaissance les religieuses animées par la foi
Je veux parler, entre autres, des saintes que sont Sœur Emmanuelle et Mère Térésa
Ces femmes exceptionnelles ont agi et œuvré dans la plus pure pauvreté matérielle
Elles possédaient une énorme énergie doublée d’une fabuleuse richesse spirituelle.
Je saluerai pour terminer ces louanges les nombreux anonymes qui n’attendent rien
Leur credo permanent est d’apporter chaque jour au coin de leur rue un peu de bien
Je demande pardon par avance à tous ceux que je n’ai malheureusement pas pu citer
Il m’aurait fallu un volume entier pour parler d’eux et pouvoir ainsi tous les honorer.
ecrivainparisien
Mars 2004
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Karine
Posted in Remords, regrets, souffrances exacerbées on 21 janvier 2007| 6 Comments »
La dépêche de J Cl Lataupe
Billet n° 812
Karine
Nous avions rendez-vous jeudi soir. Je devais lui remettre le dernier livre que j’ai écrit et que je lui ai offert pour l’une de ses associations. J’étais heureux par avance.
Elle n’est pas venue.
J’ai pensé qu’elle avait eu un contretemps, chose tout à fait envisageable compte tenu de son métier de journaliste.
Je lui ai envoyé un message dans lequel j’écrivais que je m’inquiétais vivement et lui demandais de me donner de ses nouvelles au plus vite.
Mon message n’a pas obtenu de réponse.
J’étais loin d’imaginer la réalité, réalité qui m’a assailli ce matin sous la forme d’un texte laconique:
« Juste un message pour te prévenir que Karine a eu un accident de voiture grave. Elle est dans le coma pour le moment. Je te tiens informé. »
Ce message m’a ramené sans ménagement 40 mois en arrière à l’époque des drames qui ont investi ma vie.
Je retrouve une fois de plus l’angoisse que j’ai trop bien connue en 2003 et 2004.
Je suis dans le vague. Mon esprit semble soudainement vide et je ne sais comment je trouve encore l’énergie pour rédiger ce texte.
La malédiction continue son « œuvre » destructrice, du moins en apparence.
Ne m’en veuillez pas si durant quelque temps mon espace n’affiche plus grand-chose.
Je ne peux que penser encore et toujours à Karine la seule et unique amie, réelle et proche qui me reste.
ecrivainparisien
21 janvier 2007
Conception, création, réalisation Les Ateliers de la Lyre ecrivainparisien
Pour sourire un peu
Posted in Divertissement on 21 janvier 2007| 2 Comments »
La dépêche de J Cl Lataupe
Billet n° 811
samedi 20 janvier 2007, mis à jour à 21:49
Les gendarmes de Saint-Tropez déménagent Reuters
Saint-Tropez a inauguré samedi sa nouvelle gendarmerie, bâtiment flambant neuf de couleur ocre-jaune, volets vert-amande et bleu-lavande dans le plus pur style provençal, à l’entrée du célèbre port varois, sur la route des plages, dite route de Pampelonne.
Saint-Tropez et la gendarmerie, c’est une histoire d’amour remontant à l’année 1838, lorsque la toute première brigade de gendarmerie "à pied" était créée dans "la cité du bailli de suffren". Un maréchal des logis et quatre gendarmes étaient alors chargés de veiller sur la sécurité des Tropéziens.
Bien plus tard, dans les années soixante, Saint-Tropez et la gendarmerie accèdent à la notoriété grâce au tournage sur place de tous les épisodes de la série des "gendarmes de Saint-Tropez".
Ces films ont connu un succès populaire considérable dans le monde entier, à telle enseigne que quarante ans plus tard, tous les étés, des milliers de touristes viennent encore se faire photographier devant la vieille gendarmerie qui a servi de cadre aux différents tournages.
Louis de Funès et Michel Galabru, alias Cruchot et Gerbert, étaient les gendarmes héros de cette saga bon enfant. A l’époque, l’essentiel de leur mission consistait à traquer les nudistes sur les plages.
En leur honneur, la vieille gendarmerie sera transformée en "musée du pays tropézien" où trôneront leurs photos et celles des tournages.
Aujourd’hui, les tâches de la gendarmerie se sont bien élargies et les nudistes ne font plus courir aucun gendarme. La nouvelle caserne-résidence de Saint-Tropez pourra accueillir 28 militaires et leurs familles. Au total, la compagnie de Gassin-Saint-Tropez sera composée de 115 hommes, d’une brigade de recherche, d’un peloton mobile et d’une brigade motocycliste.
Le lieutenant Pierre-Jean Jy, le patron de la nouvelle brigade de Saint-Tropez, est fier de pouvoir annoncer une baisse de 40 % de la délinquance sur la presqu’île.
Il se dit "satisfait d’être respecté et bien considéré par les Tropéziens dont l’affection pour leurs gendarmes ne s’est jamais démentie".
Pendant que la nouvelle gendarmerie de Saint-Tropez était en cours de construction, des officiers qui venaient surveiller l’avancement des travaux ont constaté un jour que sur le chantier aucun des ouvriers ne parlait le français. Ils se sont rendu compte qu’ils étaient tous en situation irrégulière en France, employés à la petite semaine par des entrepreneurs locaux peu regardants, qui ont été poursuivis. (C’est hilarant mon adjudant ! Aurait pu s’exclamer le chef Cruchot en direction de Gerbert)
Conception, création, réalisation Les Ateliers de la Lyre ecrivainparisien
Nécessité « Juste »
Posted in Hommage on 20 janvier 2007| Leave a Comment »
La dépêche de J Cl Lataupe
Billet n° 810
Nécessité « Juste », « Juste » obligation
Je veux revenir une nouvelle fois sur le devoir de mémoire
Nous nous devons tous de ne jamais oublier notre histoire
Il me semble nécessaire de parler de ceux qui se sont battu
C’est une manière de remercier tous ceux qui ne sont plus.
Nous sommes aujourd’hui leurs porte-parole pour raconter
Nous devons décrire ce que fut leur sort dans les tranchées
Les maladies, parfois la peur, étaient le lot de ces guerriers
La mère Patrie les habitait les poussant tous à se dépasser.
Bien sur il y a eu ce terrible chaos mais il ne fut pas le seul
N’oublions pas le second conflit et ses millions de linceuls
Toutes ces morts gratuites et inutiles doivent être célébrées
C’est un devoir pour le respect de ceux ayant été massacrés.
Tous ont eu la malchance d’être arrivés au mauvais moment
Quelques uns furent sauvés du massacre par de braves gens
Ces êtres ont accompli une action parfois au péril de leur vie
On les surnomma Justes, nous leur devons un noble merci.
ecrivainparisien
20 janvier 2007
Conception, création, réalisation Les Ateliers de la Lyre ecrivainparisien
« Quoi de neuf docteur ? »
Posted in Divertissement on 19 janvier 2007| 1 Comment »
Au rendez-vous des sportifs
Posted in Divertissement on 19 janvier 2007| 3 Comments »
Ils ne sont plus que trois
Posted in Actualité on 17 janvier 2007| 7 Comments »
La dépêche de J Cl Lataupe
Billet n° 807
Désormais ils ne sont plus que trois…
Décès de René Riffaud, l’un des quatre derniers "poilus" à l’âge de 108 ans
Source : Associated Press le 16/01/2007 17:13
René Riffaud, l’un des quatre derniers "poilus" de la Première guerre mondiale, est décédé mardi à l’âge de 108 ans, a-t-on appris auprès du ministère délégué aux Anciens combattants. Installé dans une maison de retraite de Tosny (Eure), le vieil homme "avait été récemment hospitalisé il y a quelques semaines", a expliqué à l’Associated Press Eva Bernard, chargée des "poilus" à l’Office national des anciens combattants (ONAC).
René Riffaud avait assisté pour la première fois le 11 novembre dernier à la cérémonie de commémoration de l’armistice à l’Arc de Triomphe à Paris. Le président Jacques Chirac avait alors salué l’ancien "poilu" en fauteuil roulant.
Ce dernier avait reçu en novembre 1995 la Légion d’honneur pour sa participation au premier conflit mondial. Mais ce n’est qu’en mars 2006, que l’ONAC lui avait accordé le statut d’ancien combattant de la Grande guerre. Lui-même n’avait en effet jamais fait la demande, et c’est sa petite fille qui l’avait fait pour lui, avait-il expliqué dans un entretien accordé l’an dernier à l’AP.
Issu d’une famille originaire du Jura, René Riffaud était né le 19 décembre 1898 à Souk el-Arba, en Tunisie, un pays où il fut mobilisé en 1917 au 75e régiment d’artillerie légère.
A son arrivée en France, il rejoint le 42e régiment d’artillerie basé dans l’Aisne. "La guerre, c’était un massacre", avait-il raconté l’an dernier. "Moi, à cette époque, j’ai fait comme tout le monde. J’ai suivi le mouvement, j’ai été mobilisé comme tout citoyen".
Le 11 novembre 1918, René Riffaud se trouvait dans un petit village de Lorraine lorsqu’il a appris que la guerre était finie. "Nous étions en train de surveiller un pont. Un officier est arrivé et nous a dit que l’armistice venait d’être signé", avait-il rapporté. "Ce jour-là, nous sommes allés en ville pour faire la fête, manger du pain qui n’était pas noir et nous nous sommes distraits du vol des oies qui s’envolaient pour aller se baigner dans le Rhin".
Après la guerre, René Riffaud avait travaillé comme électricien puis dirigé une entreprise de réparation de moteurs électriques à Colombes (Hauts-de-Seine) jusqu’à sa retraite en 1973.
La ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie a exprimé sa "tristesse" à l’annonce de la mort de l’ancien poilu. "A chaque fois, c’est un peu un élément de notre mémoire vivante qui disparaît, mais c’est peut être aussi pour nous une occasion de nous souvenir et de montrer que la liberté, l’indépendance du pays sont des valeurs qui ne sont pas définitivement acquises", a commenté la ministre de la Défense lors de ses vœux à la presse. "Cela doit aussi amener les jeunes à réfléchir sur ce qu’ils font pour leur pays". AP
gon/sb/egp/mw
La « der des der »
Ils étaient partis avec les idées qu’on leur avait serinées
Ils devaient bouffer du boche, c’était notre ennemi juré !
Leurs conditions de survie étaient vraiment inhumaines
Certaines unités se sont mutinées, cependant sans haine.
Cette guerre effroyable fut une boucherie pour matamores
Des chefs envoyaient sciemment les hommes vers la mort
Certains combats durèrent des jours pour avancer à peine
Le mètre regagné coûtait des centaines de vies humaines.
L’artillerie allemande pilonnait sans relâche nos positions
Un déluge de feu s’abattait sur nos poilus en pleine action
Combien furent instantanément ensevelis à Douaumont ?
Combien sont morts à Verdun et dans toute cette région ?
L’ypérite a fait des ravages considérables dans nos rangs
Nos braves étaient peu instruits quant à ces gaz puissants
Nos soldats ont combattu vaillamment durant ces années
Ceux qui n’y sont pas restés sont rentrés mutilés ou gazés.
Qu’ajouter de plus concernant cette guerre de vrais soldats
Tout ou presque a déjà été dit et relaté, cela bien avant moi
Il me semblait très important de revenir sur cet évènement
Parler de ces vaillants soldats n’est jamais perte de temps.
11 novembre 2006
ecrivainparisien
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Concert exceptionnel
Posted in Musique on 17 janvier 2007| Leave a Comment »
La dépêche de J Cl Lataupe
Billet n° 806
Concert exceptionnel
16 janvier 2007
Hommage au
Maestro Arturo Toscanini
Le concert exceptionnel donné en hommage au Maestro Arturo Toscanini s’est déroulé hier au Fisher central hall de Lincoln Avery à New York.
Le chef Lorin Maazel a dirigé conjointement le « Symphonica Toscanini » et le « New York Philarmonic » dans ce concert hommage mis sur pied pour commémorer les 50 ans de la disparition du Maestro Arturo Toscanini.
A cette occasion Lorin Maazel a reçu la baguette de chef d’orchestre ayant appartenue au Maestro Toscanini.
Cette baguette lui a été remise par Emma Bonino, Ministre italienne du commerce et des échanges internationaux.
Cet objet symbolique a été transmis à Lorin Maazel pour l’honorer personnellement dans le cadre de la commémoration des 50 ans de la disparition d’Arturo Toscanini.
Je rappelle pour l’occasion et pour ceux n’ayant pas lu mon billet numéro 801 que Lorin Maazel a dirigé, à l’âge de 11 ans, l’orchestre symphonique de la NBC, orchestre ayant été conduit de mains de Maître par Arturo Toscanini de 1937 à 1954.
Pour la petite histoire cet orchestre a été crée spécialement pour Arturo Toscanini par David Samoff, directeur de RCA.
ecrivainparisien
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